sábado, 17 de novembro de 2012

International Journal of Medicinal and Aromatic Plants, v.2, n.3, 2012

IJMAP
http://www.openaccessscience.com/index.php/journals/ijmap/current-issue

Research Articles

Polyphenols and antimicrobial activity in extracts of Lippia alba (Mill.) 

Seasonal variation in antibacterial activity of different parts of Achyranthes aspera against some bacteria 

Isolation of antioxidant and xanthine oxidase inhibitor from n-Butanol extract of Andaliman fruit (Zanthoxylum acanthopodium DC.)
 
Effect of stand geometry and plant growth regulators on root yield and alkaloid content of Ashwagandha (Withania somnifera Dunal.)
 
Evaluation of seed germination and plant regeneration in Brugmansia suaveolens – a trophane alkaloid producer plant 

Morphological and anatomical circumscription for the identification of two source plants of aphrodisiac medicine – Chlorophytum borivilianum Santapau & Fernandes and Chlorophytum tuberosum (Roxb.) Baker
 
Phytochemical screening and antimicrobial activities of ethanolic and aqueous root extracts of Zanthoxyllum zanthoxylloides (Lam.) Waterm. on selected dental caries causing microbes
 
Quantitative estimation of barbaloin in Aloe vera and its commercial formulations by using HPTLC 

Determination of Oleuropein in leaves and fruits of some Syrian olive varieties 

Ethno-botanical studies of Mallotus philippenesis L. Mull. Arg on Tribes of Bhopal, Madhya Pradesh, India 

Isolation and α-Glucosidase inhibitory activity of endophytic fungi from mahogany (Swietenia macrophylla King) seeds
 
Ethnomedicinal studies for endemic diseases by the tribes of Munchingiputtu Mandal, Chemical composition and variability among some Ocimum gratissinum accessions

Effect of light and temperature on seed germination of important medicinal and aromatic plants in north western Himalayas 

Preliminary study to assess cicatrizing activity of honey and Pistacia lentiscus fatty oil mixture on experimental burns in rabbits 

Optimization of conditions for in vitro seed germination and shoot multiplication of Aconitum heterophyllum Wall
 
Comparative of HS SPME and HD techniques in Citrus aurantium L.
 
Study on antioxidant property in selected medicinal plant extracts 

Chemical composition and efficacy of essential oil from Juniperus foetidissima Willd against the Khapra Beetle 

Antioxidant activity and chemical constituents of Warionia saharae Benth. & Coss. (Compositae) from Algeria 

Review Articles

Review on pharmacological properties of Caesalpinia bonduc L. 

HPLC Separation of Anthraquinones from Rhubarbs 

Short Communications

Citrullus colocynthis as a bioavailable source of β-sitosterol, antihyperlipidemic effect of oil in rabbits 

Antihyperglycemic activity of prickly pear (Opuntia ficus-indica) aqueous extract 

General Article

Livelihood diversification in cold arid desert of Indian Himalaya: urgent need of transforming traditional agroforestry system with emphasis on adoption of herbal farming 

Cover Caption

Upper four images clockwise: Dactylorhiza hatagirea (see Butola et al.), Interview with medicine man in Bhopal District of Madhya Pradesh India (see Sharma et al.), seeds of Stevia rebaudiana (see Kumar and Sharma) and full grown seedlings of Aconitum heterophyllum (see Solanki and Siwach), middle left image: transverse section of Chlorophytum tuberosum tuber (see Mandal and Nandi), middle right image: traditional agroforestry system in cold arid desert, Ladakh (see Butola et al.), bottom left image: Picrorhiza kurrooa (see Butola et al.), bottom centre image: Achyranthes aspera (see Ranwan and Yadav), bottom right image: effect of plant growth regulators on root growth of Withania somnifera (see Shukla and Shukla).

La citronnelle, une herbe à l’évocation d’agrumes

Plante herbacée tropicale de la famille des Poacées, la citronnelle se distingue par ses longues feuilles linéaires, qui peuvent croître de 90 cm à 2 mètres de long. Les tiges présentent un aspect renflé et charnu, qui révèlent un intérieur creusé lorsqu’elles sont découpées en tronçons. Trouvant son origine dans le sud de l’Inde, elle se cultive à travers le monde, à condition d’un sol chaud et humide comme sur l’île de Madagascar ou à Java. Importée tardivement en Europe au XIXème siècle, elle peut porter indifféremment les noms de Verveine des Indes ou « Lemon Grass » en Angleterre. Utilisée comme remède médicinal, elle permet de lutter contre les infections comme la grippe ou les maladies pulmonaires.

Si la citronnelle se plaît sous un climat tropical ou subtropical, il est néanmoins possible de l’adapter à un climat plus tempéré. De ce fait, la culture de la plante n’est pas complexe, demandant un minimum de soins, à partir du moment où les prescriptions de base sont respectées. Elle se cultive aussi bien en jardin, qu’en pot sur le balcon dans une terre sabloneuse, tant que le lieu est abondamment ensoleillé. N’hésitez pas à l’arroser avec abondance et une très grande régularité, quitte à ce que le substrat présente un aspect humide constant. En période hivernale, il est impératif de la préserver du froid, car elle ne supporte en aucun cas les gelées. Afin de la voir se multiplier, il suffit de prélever quelques tiges bien vertes, et de les plonger dans un verre d’eau, jusqu’à ce que de petites racines voient le jour avant d’être replanter.

Fraîche, séchée, congelée ou en poudre, la citronnelle peut prendre différentes formes, assurant une conservation plus ou moins longue selon le mode. Il reste conseiller de choisir des tiges de citronnelle fraîche, étant la garantie d’une préservation optimale des arômes. Elles se conservent simplement enveloppée dans un sac en plastique, placé dans le bac à légumes du réfrigérateur durant 4 à 5 jours. La citronnelle congelée est une bonne alternative, possédant l’avantage d’une conservation longue durée, mais évitez la séchée ou en poudre, dont les saveurs sont beaucoup moins présentes. Avant d’utiliser la citronnelle, il convient de la préparer : perlez les tiges, puis coupez-les à 6 ou 7 cm de la base, ce qui correspond à la partie comestible. N’hésitez pas à conserver l’autre bout des feuilles, afin d’aromatiser les bouillons, les sauces et les plats mijotés, en les plongeant durant la cuisson.

Jouant sur l’exotisme de ses notes, la citronnelle se plaît avec des aliments qui lui ressemblent, comme le gingembre, l’ail ou le piment. Elle se fait l’incarnation de la cuisine de l’Asie du Sud-Est, entrant dans la confection de soupes, plats de curry ou de poissons du Vietnam ou de la Thaïlande. N’hésitez pas à accompagner le citron de quelques éclats de citronnelle dans vos marinades par exemple, ce qui permettra d’intensifier l’acidité du goût. Grâce à ses vertus désaltérantes, vous pouvez réaliser des boissons originales, sous forme de cocktail ou de thé glacé. Sachez que la citronnelle se consomme indifféremment crue ou cuite, mais elle supporte mal une cuisson trop longue, impliquant de l’ajouter à la toute fin. Pour libérer un maximum d’arômes, vous pouvez la ciseler finement, apportant une touche décorative et aromatique sur vos salades.

Indispensable en cuisine, la citronnelle s’avère particulièrement utile lors de l’invasion des moustiques durant l’été. Faire brûler quelques feuilles dans une pièce ou les frotter directement sur la peau vous permettra de passer des nuits plus sereines.
Sous forme de tiges découpées en tronçon, la citronnelle offre des saveurs aux tonalités rafraîchissantes, qui trouvent leur plein emploi dans la cuisine de l’Asie du sud-est pour un voyages des sens aux notes exotiques.
Sous forme de tiges découpées en tronçon, la citronnelle offre des saveurs aux tonalités rafraîchissantes, qui trouvent leur plein emploi dans la cuisine de l’Asie du sud-est pour un voyages des sens aux notes exotiques. 
©Birgit Kutzera pour Fotolia.com

Texto: Clément Martin
Data: 17.11.2012
Link:
http://www.maison.com/cuisiner/ingredients/citronnelle-herbe-evocation-agrumes-6708/

Espanha: Siete de cada diez riojanos prefieren las plantas medicinales para ayudarles a conciliar el sueño

Siete de cada diez riojanos prefieren recurrir a una planta medicinal para que les ayude a dormir antes que un somnífero de origen químico, según datos del Centro de Investigación sobre Fitoterapia (INFITO), que ha puesto en marcha la campaña 'Duerme de forma natural' en las farmacias de La Rioja, donde recomiendan las plantas medicinales más adecuadas para cada persona y ofrecen consejos para combatir el insomnio.

Además, en el blog http://www.insomnio.edu.es, en el que participa la Sociedad Española para el Estudio de la Ansiedad y el Estrés (SEAS), se contestarán las preguntas de pacientes y profesionales de la salud relacionadas con este trastorno.

"La Pasiflora, la Valeriana y la Amapola de California son plantas medicinales de dispensación farmacéutica que ayudan a conciliar el sueño y no generan somnolencia diurna, ni falta de atención, que suelen ser los efectos secundarios que causan los fármacos químicos", según Mª Luz García Toro, consultora de INFITO en La Rioja, quien sugiere que los preparados se adquieran en la farmacia debido al control de calidad y eficacia además de otras informaciones de interés para el paciente.

"Si el insomnio se convierte en crónico es recomendable visitar a un profesional de la salud", sugiere esta especialista. "La Pasiflora evita despertares nocturnos y prolonga las fases del sueño profundo, La Amapola de California alivia la ansiedad y por último, la Valeriana, reduce la ansiedad y favorece el sueño sin producir somnolencia diurna", destaca esta especialista.


Evitar los efectos de los ansiolíticos

Más de un tercio de los adultos ha utilizado alguna vez un ansiolítico para dormir, y de ellos cerca de una cuarta parte dice haber sufrido algún efecto secundario, como dificultad de concentración, dependencia y somnolencia diurna, según una encuesta realizada por INFITO.

"Los efectos secundarios que puede ocasionar el uso continuado de hipnóticos sin prescripción médica, puede provocar un mayor riesgo de accidentes laborales y de tráfico y un importante absentismo laboral", advierte la doctora Rosa Peraita Adrados, de la Unidad de Sueño del Hospital Gregorio Marañón, de Madrid.

Así, una investigación alemana, publicada en la revista Pharmacoepidemiology and Drug Safety del mes de octubre, revela que "la incidencia de lesiones se incrementa fuertemente con las dosis de antidepresivos, ansiolíticos, hipnóticos y sedantes". Los problemas derivados del uso de estos tratamientos aumentan en personas mayores, sobre todo en mujeres, que a menudo no saben manejarlos, según un análisis de la Universidad Rey Juan Carlos, de Madrid, publicado en el número de octubre de International Psychogeriatry.

Dat
a: 17.11.2012
Link:
http://www.20minutos.es/noticia/1650561/0/

Espanha: Las mujeres utilizan casi el doble de plantas medicinales que los hombres

Las mujeres consumen casi el doble de preparados de plantas medicinales de forma habitual que los hombres, el 27 por ciento frente al 14 por ciento, según los últimos datos de consumo que se presentan en el VIII Congreso Internacional de Fitoterapia Ciudad de Oviedo, que se celebra en el Colegio de Médicos de Asturias, y que este año se centra en las terapias naturales de la mujer madura.

El doctor Ignacio Bachiller, coordinador del Congreso, ha apuntado que "las mujeres están más concienciadas de los beneficios de las plantas medicinales en la salud y las adquieren en la farmacia, sobre todo, para trastornos como el insomnio, el sobrepeso y el tránsito intestinal".

la profesora Concha Navarro, presidenta del Centro de Investigación sobre Fitoterapia (Infito) ha explicado que la soja es la planta medicinal "más indicada para tratar y prevenir los trastornos asociados a la menopausia, como los sofocos y los cambios de humor, siempre que se tome en forma de preparados farmacéuticos estandarizados y autorizados como medicamentos".

Un estudio español, dirigido por el doctor Santiago Palacios, director del Instituto Palacios de Salud de la Mujer, publicado en la misma revista, ya demostró que un preparado farmacológico de 75 miligramos isoflavonas de soja, consumido en dos tomas, reducía los sofocos en un 80 por ciento.

La profesora Navarro cree que el futuro de la fisioterapia pasa porque todas las plantas con indicación terapéutica reciban "la misma consideración" que los medicamentos de síntesis, y, como tales, sus componentes sean "analizados y envasados" con todas las garantías de calidad y eficacia y sólo puedan dispensarse en farmacia.

Data: 16.11.2012
Link:
http://noticias.lainformacion.com/salud/terapia/las-mujeres-utilizan-casi-el-doble-de-plantas-medicinales-que-los-hombres_1nYt6JW1DzDLMvhVSo4ea2/


Journal of Medicinal Plants Research, v.6, n.41, 25.10.2012

http://www.academicjournals.org/JMPR/contents/2012cont/25Oct.htm

Review

Phytochemistry, pharmacology, and biotechnology of Withania somnifera and Withania coagulans: A review

Research Articles

Anti-nociceptive and anti-inflammatory activities of the aqueous extract of fresh Solanum aculeastrum Dunal. berries in male Wistar rats

Evaluation of radical scavenging activity of rhizome extracts of Alpinia galanga and Zingiber officinale

Antimicrobial activity and chemical composition of essential oils from Aloysia polystachya (Griseb.) Moldenke grown in Brazil

A perspective on geoherbalism: An example of scutellariae radix biogeography based on three chloroplast DNA regions

Effect of Zingiber officinale on paracetamol-induced genotoxicity in male rats

Antifungal activity of Psidium guajava organic extracts against dermatophytic fungi

Longevity of Safed Musli (Chlorophytum borivilianum) tubers under different storage temperatures and concentrations of paclobutrazol

In vitro activity of the aqueous extract of Gardenia ternifolia fruits against Theileria lestoquardi

Dendrobium moniliforme extract regulates glucose and lipid metabolism through activation of peroxisome proliferator-activated receptor α

Journal of Medicinal Plants Research, v.6, n.40, 17.10.2012

http://www.academicjournals.org/JMPR/contents/2012cont/17Oct.htm

Review

Chemical composition of the plant Punica granatum L. (Pomegranate) and its effect on heart and cancer

Research Articles

Isolation of mangiferin and amyloid β-protein from n-hexane extract of roots of Wrightia tomentosa

Study on the extraction process and tyrosinase inhibition property of cichoric acid in Echinacea purpurea L.

Acute and subchronic toxicity evaluation of the hydroethanolic extract of germinated brown rice
  
Antinociceptive effect of the ethanolic extract of Neoglaziovia variegata (Bromeliaceae) in mice

Antiulcerogenic activity of the aqueous fraction of Anacardium humile St. Hil (Anacardiaceae)

Efficacy of neem (Azadirachta indica A. Juss) callus and cells suspension extracts against three lepidopteron insects of cotton

Immunomodulation by Stemona tuberosa ethanol extract in vitro and in ovalbumin-induced mouse asthma model

Antibacterial activity of some selected plants of family Zygophyllaceae and Euphorbiaceae

Time and dosage effects of an endophytic fungal elicitor on the volatile oil production and physiology of Atractylodes lancea suspension cells

Flavonoids from Taraxacum coreanum protect from radical-induced oxidative damage

Isolation and spectral characterization of a new biaurone from Pongamia pinnata (L.) Pierre. (Fabaceae) pods

Journal of Medicinal Plants Research, v.6, n.39, 10.10.2012

Link: http://www.academicjournals.org/jmpr/contents/2012cont/10Oct.htm


Euphorbia hirta (Feiyangcao): A review on its ethnopharmacology, phytochemistry and pharmacology

Effects of n-butanol and water fractions from Pedicularis decora Franch on oxidative stress in mice induced by a single bout of swimming exercise

Free radical scavenging activity, phytochemical composition and nutrient analysis of Elaeagnus umbellata berry


Chondroprotective potential of bioactive compounds of Zingiber cassumunar Roxb. against cytokine-induced cartilage degradation in explant culture


Abundant high-quality RNA from medicinal plants for molecular applications


Down regulation of matrix metalloproteinases by spearmint extract in Wehi-164 cells

Comparison of phenolic compounds content inindeciduous Quercus species

Preparative enrichment and separation of isofraxidin from Acanthopanax senticosus with HPD100C macroporous resin

Biological screening of Hedera nepalensis

Antioxidative activity of taheebo (Tabebuia impetiginosa Martius ex DC.) extracts on the H2O2-induced NIH3T3 cells


Fatty acid composition, antioxidant and antibacterial activities of Pistacia lentiscus L. fruit oils

Antidepressant effect of Barley grains in comparison with Prozac drug: biochemical and cytological studies on skeletal muscles of mice

Evaluation of in vitro antioxidant activity of bark extracts of Terminalia arjuna

Studies on the enhancement of cancer-selective cytotoxicity of Kampo medicine by combination

Vetiver y el Agua

El vetiver tiene un rol importante que jugar conjuntamente con el agua como se pudo establecer en la tercera Conferencia sobre Vetiver, realizada en Tailandia (ICV-3) " Vetiver y el Agua", donde se presentaron experiencias realizadas en diferentes partes del planeta. Ello es muy apropiado en las presentes circunstancias, cuando el agua es destacada como el recurso natural más importante para la humanidad. El Vetiver es un pasto extraordinario, sirviendo como herramienta esencial para mitigar la crisis de agua que afrontamos. 
El Vetiver y el agua son interdependientes el uno del otro. Así como otras criaturas vivientes, el Vetiver depende del agua para su crecimiento y desarrollo. Sin embargo, en términos de cantidad y calidad, la disponibilidad del agua, depende hasta cierto punto del Vetiver. 

Se pudo establecer que el vetiver ayuda a regular las cantidades de agua, es decir la conserva cuando esta escasa y también ayuda a recibir la escorrentía en épocas de exceso, redistribuyéndola perpendicularmente en sentido de las barreras en contorno, permitiendo el paso de solo una porción a través de las mismas mientras el resto se infiltra en el subsuelo y es retenida por las partículas del mismo, e el exceso luego de saturarse, es almacenado como agua subterránea en el acuífero. El Vetiver también ayuda a purificar las aguas contaminadas y polucionadas. 

Efecto del vetiver en controlar la cantidad de agua

Los excesos de agua pueden ocurrir en condiciones normales o anormales descritas a continuación: 

Situación normal

Este es el caso cuando hay mucha agua presente como agua empozada en poca profundidad, o en suelo saturado de agua, debido a la compactación del suelo o mal drenaje. 

Este es el caso de los pantanos, ciénagas, humedales, etc., donde el agua mantiene empozada y a poca profundidad durante la mayor parte del año. Debido a que el Vetiver puede sobrevivir bien en el agua, y conjuntamente con su alta capacidad de consumo de la misma, así como la tolerancia a niveles altos de contaminación en el agua, el Vetiver es ideal para ser usado como alternativa para resolver esta situación. 

En ciertas áreas, las capas superficiales del suelo son bastante delgadas, ya que hay una capa dura o compactada debajo. Esta condición permite la saturación del suelo superficial durante la época de lluvias. Como resultado, el crecimiento de las plantas es afectado. Si el Vetiver es plantado en tales suelos, las raíces del Vetiver promoverán la percolación del suelo, haciendo más fácil la infiltración agua hacia el subsuelo al penetrar en la capa endurecida. De esta forma, el agua en exceso es drenada en profundidad en la época húmeda, mientras que el agua retornara por capilaridad en épocas secas. Esto estimulara el crecimiento de los cultivos en tales suelos. 
Situación anormal

Este es el caso cuando el exceso de agua se presenta como resultado de lluvias extremas, que generalmente terminan generando diversos desastres tales como derrumbes, deslizamientos, corrientes de rápidos destructivas e inundaciones, como es el caso actual Colombia y otros países del mundo. Los deslizamientos son causados por la falta de fortaleza estructural del terreno en pendientes inclinadas, y el proceso es disparado durante el periodo de lluvias extremas. Bajo condiciones naturales, los árboles de raíces profundas en el bosque proveen un reforzamiento, pero cuando ocurren las deforestaciones, esta protección estructural se pierde. Esto trae a menudo como resultado la ocurrencia de deslizamiento. Las coladas de barro son similares a los deslizamientos pero el suelo se encuentra en un estado de fluidez mayor, ya que el agua ha penetrado el perfil durante mayor tiempo saturándolo. Los efectos de las coladas son peores ya que el barro puede enterrar cualquier cosa, incluyendo seres humanos. Las aguas de escorrentía moviéndose a grandes velocidades cuesta abajo destruyen todo lo que se interpone en su camino. 

La peor situación se observó en Krathun Subdistrito del Distrito Phipun en la Provincia de Nakhon Si Thammarat, en Tailandia en 1989, donde los árboles de la montaña fueron talados y grandes cantidades de leños fueron almacenados temporalmente en el sitio de corte. Desafortunadamente, con la ocurrencia de unas lluvias torrenciales, estos leños fueron arrastrados conjuntamente con las corrientes y ocasionaron daños en toda una villa ubicada en la base de la montaña, que posteriormente fue completamente enterrada en los sedimentos que también traían las aguas de escorrentía. 

Las plantaciones de barreras de vetiver en hileras en contorno (en sentido contrario ala pendiente) disminuye la cantidad de agua de escorrentía, permitiendo que mayor cantidad de agua percole en capas profundas del suelo, en vez de adicionarlas a las aguas de inundación en las tierras bajas. De esta forma, más agua es acumulada en los acuíferos, abatidos además que los suelos permanezcan más húmedos. Las barreras también detienen detritus y otros materiales orgánicos, haciendo los suelos más fértiles. Estas barreras no solo reducen la velocidad de las aguas de escorrentía sino que también las distribuyen lateralmente, reduciendo el daño causado por la fuerza de las aguas de lluvia concentradas. Estas barreras proveen muchos otros beneficios que por si mismos inducen su utilización para reducir problemas relacionados con agua, ya sea en las montañas, terrazas, cárcavas y en planicies inundables. 
En Australia, Dalton et al (1996) y Dalton (1997) han colectado evidencias que demuestran la efectividad de las barreras de vetiver en la reducción de daños por inundaciones en tierras cultivadas en los Darling Downs de Queensland. En el sitio experimental, las barreras establecidas a intervalos de 90 metros lograron proteger en forma permanente en contra de las inundaciones. Debemos resaltar que durante un periodo de cinco años con muchos eventos de inundaciones, las barreras de vetiver se comportaron de forma efectiva en reducir la velocidad del flujo y limitaron el movimiento de suelo por erosión en las franjas de barbecho. 

Como se mencionó anteriormente, las barreras de vetiver plantadas en contorno en una pendiente, permiten una mayor penetración de agua desde la superficie hacia capas más profundas del suelo. De esta manera el suelo que esta frente de las barreras se torna más húmedo y puede suministrar agua durante la temporada seca. Adicionalmente los detritos y material orgánico transportado por el agua y depositado enfrente de las barreras ayudan a retener más humedad, facilitando el crecimiento de plantas ubicadas entre las barreras durante todo el año. 

Un buen ejemplo puede ser tomado del proyecto "Diques de Retención para Almacenar Humedad", conducido por Huai Hong Khrai del Real Centro de Estudios para el Desarrollo en el Distrito Doi Saket, en la provincia de Chiang Mai. Usando Vetiver como protagonista principal, el proyecto se orienta hacia incrementar la humedad del suelo a través de medios económicos, simples y efectivos. Hay dos tipos de pequeños diques, uno que retárdale flujo del agua y permite que el agua entre en el suelo y se incremente la humedad. El otro es un dique para controlar el transporte de sedimentos, que atrapa los detritos asociados con el agua y partículas de suelo que van suspendidas en la corriente de agua. Ambos tipos de dique incrementan y retienen la humedad, y crean un ciclo hidrológico beneficioso para la conservación efectiva del bosque. Al final el bosque que se secaba en épocas sin lluvias, hoy se torna siempre verde. 

La recarga de aguas subterráneas es un aspecto importante en la planificación de los recursos hídricos. Las aguas subterráneas no solo surten a los pozos y manantiales, sino que también el flujo de agua de los grandes sistemas de ríos durante épocas secas. La recarga mejorara si la escorrentía se reduce. Una buena cobertura vegetal es esencial; los árboles y pastos, así como la cobertura de los cultivos reducen la escorrentía. Las barreras de Vetiver juegan también un papel importante en la recarga de los acuíferos. La escorrentía de las lluvias puede reducirse hasta en un 70% cuando las barreras de Vetiver se siembran en sentido contrario a la pendiente siguiendo el contorno. Esta disminución de escorrentía se debe en parte a la disminución de su velocidad y a su dispersión en un área mayor, pero también debido a que sus fuertes raíces pueden penetrar capas compactadas que están fuera del limite de otras plantas, mejorando significativamente la infiltración. 

Sabemos por información desde la India ( en sitios de pocas y mucha lluvia. Que donde se han instalado barreras de Vetiver, los niveles de los pozos son superiores, los manantiales no se secan y los pequeños riachuelos permanecen con agua mas tiempo en la época seca. 

Adicionalmente, las barreras de Vetiver son efectivas en remover excesos de nitratos y fosfatos que pueden formar parte de la escorrentía y hay algunas evidencias de que el Vetiver igualmente puede remover excesos de plaguicidas. De aquí que el Vetiver tenga una doble funcionalidad, incrementando las aguas subterráneas y mejorando su calidad. 


Fuente: 
Data: 17.11.2012
Link:
http://www.vetivercolsas.com/vetiver-y-el-agua

Amaranth Greens (Lenga-Lenga) – Politically Correct, Easy to Grow, and Delicious. Recipes Included

Posted on 16/11/2012

Heidi, one of our readers, has asked for a recipe using lenga-lenga (Amaranth). Here are some recipes, together with information on lenga-lenga – its use, cultivation and value as a key indigenous food.

The crop:

Lenga-lenga is one of a hand-full of basic, inexpensive, easy-to-cultivate, and nutritious crops in Burundi and surrounding areas. Its use transcends both ethnic and economic categories – a useful feat in an area typified by economic divides as well as decades of ethnically based strife. 

As a crop, lenga-lenga is easy to plant and care for, and matures in only three weeks. 


Lenga-lenga is often grown along roads and in spare plots – this is by the fence of the airport. The mound of sand is where a hand-dug well has been developed in order to water the crop.
Lenga-lenga plots can be easily cared for by one woman – who plants, cultivates, harvests, bundles and sells the crop.
Harvested lenga-lenga is immediately tied into small bundles.

In large plots, the entire family may help in the harvest, together with friends or relatives. The bundles of lenga-lenga are being placed under plastic sheets where they will remain until early the next morning, when they will be taken to local markets or into city markets very early.
Women holding a stock of arid-lands lenga-lenga in eastern Burundi – more information on following picture.
The arid land lenga-lenga self-seeds and is generally not cared for, but harvested from these wild stands. I’m not aware of any word being done to document the various types of lenga-lenga but it is a task that needs to be done, as we move into changing climatic conditions.

Recipes for Lenga-Lenga:

There are no ‘fixed’ recipes for lenga-lenga, everyone has their favorite way of making it. However, basic ingredients are the same:
Lenga-lenga leaves and small parts of the stems
palm-oil
tomatoes
onion
pili-pili – hot sauce made of red peppers

There are other items that could be added, such as:
Meat pieces (usually goat)
Small fish
Garlic
Green peppers
Red beans

The ingredients and the amounts are really up to you! Though the steps are similar – first, heat oil and saute onions, (garlic; green peppers) then add tomatoes and simmer, followed by meat pieces (pre-cooked) or small fish or beans. 
Wash and pick off leaves from the stems together with tender stem pieces.
To keep cleaned lenga-lenga fresh, place in a bowl with water.
Lenga-lenga sauce wtih palm oil, onion and tomatoes being cooked in front while thick porridge of manioc flour with which to eat the sauce is being made in back.
Prepared for the Hotel Club du Lac Tanganyika, and served with thick porridge cassava balls by Chef Richard.
A ‘westernised’ lenga-lenga based dish that I make from time to time, with olive oil, lots of garlic, tomatoes, onions, potatoes - all cooked in a rich meat sauce.
For a Sunday meal, eating lenga-lenga with mukeke fish from Lake Tanganyika that has been grilled over charcoal is delicious.

The following blog gives a recipe using lenga-lenga and INUPU – an indigenous potato that grows here in the highlands: 


Link:
http://dianabuja.wordpress.com/2012/11/16/amaranth-greens-lenga-lenga-politically-correct-easy-to-grow-and-delicious-recipes-included/

Lost Crops of Africa

Book Cover
Book Cover
Book Cover
http://www.nap.edu/catalog.php?record_id=11879

IV Congreso Latino Americano de Agroecologia



El IV congreso se llevará a cabo en Lima, Perú. En el Campus de la Universidad Nacional Agraria La Molina, durante el 09 y 15 de setiembre del 2013.

Link:
http://soclaperu.wordpress.com/2012/11/08/iv-congreso-latino-americano-de-agroecologia/

sexta-feira, 16 de novembro de 2012

Selos: plantas medicinais no Paquistão

Selos: plantas medicinais na Gâmbia

Selos: plantas medicinais na Etiópia

Selos: plantas medicinais no Kosovo

Selos: plantas medicinais no Suriname

Medicinal Plant for Mesothelioma?

A new study suggests that a plant used for centuries in Indian Ayurvedic medicine may be a powerful weapon in the fight against deadly malignant mesothelioma.

The bioactive compound Withaferin A (WA) is isolated from the root of Withania somnifera, a plant in the nightshade family also known as Indian ginseng. A number of previous scientific studies have found evidence to suggest that WA has anti-inflammatory, immuno-modulatory, anti-angiogenic, and anti-cancer properties.

In the latest study, published online in the open-access peer-reviewed journal PLos One, researchers at the Karmanos Cancer Institute in Detroit tested the compound in live mice (in vivo) as well as in mesothelioma cells taken from human patients (in vitro). Their objective was to determine whether WA would have an effect on mesothelioma cell growth and, if so, the molecular mechanism behind that effect.

The mice used in the study were given 5 mg/kg of WA daily, directly into the intra-peritoneal space. The study found that WA inhibited the growth of the murine (mouse) mesothelioma cells as well as the growth of those derived from human patients. The WA seemed to work, in part, by modulating the levels of certain regulatory proteins involved the cell life cycle. WA also suppressed mesothelioma growth by increasing the rate of apoptosis (cell death). Finally, gene-array based analyses found that WA suppressed a number of genes that promote cell growth and metastasis.

In a summary of their findings for PLoS One, the research team concludes “Together, our in vitro and in vivo studies suggest that WA suppresses malignant pleural mesothelioma growth by targeting multiple pathways that include blockage of proteasome activity and stimulation of apoptosis, and thus holds promise as an anti-MPM agent.”

Double-blind, placebo-controlled human trials would have to take place before any WA-based mesothelioma treatment could be sanctioned by the FDA and used to treat patients. As always, patients should consult their healthcare professional before using any type of supplement.

Source:

Yang, H, “Withaferin A inhibits the proteasome activity in mesothelioma in vitro and in vivo”, August 17, 2012, PLoS One online, Epub ahead of print.
Data: 15.11.2012
Link:
http://www.survivingmesothelioma.com/news/view.asp?ID=001400

Agrotóxico utilizado como chumbinho é banido do mercado brasileiro

Toxicidade


A Agência Nacional de Vigilância Sanitária (Anvisa) baniu do mercado brasileiro o aldicarbe, agrotóxico utilizado de forma irregular como raticida doméstico (chumbinho).

Estimativas do governo apontam que o produto é responsável por quase 60% dos 8 mil casos de intoxicação relacionados a chumbinho no Brasil todos os anos.

O aldicarbe tem a mais elevada toxicidade entre todos os ingredientes ativos de agrotóxicos até então autorizados para uso no país.

Aldicarbe

O único produto à base de aldicarbe que tinha autorização de uso no Brasil era o Temik 150, da empresa Bayer.

"Trata-se de um agrotóxico granulado, classificado como extremamente tóxico, que tinha aprovação para uso exclusivamente agrícola, como inseticida, acaricida e nematicida, para aplicação nas culturas de batata, café, citros e cana-de-açúcar", informou a Anvisa.

Em junho de 2012, a Anvisa cancelou o informe de avaliação toxicológica dos agrotóxicos à base de aldicarbe e, em outubro de 2012, o Ministério da Agricultura, Pecuária e Abastecimento publicou o cancelamento do registro do Temik 150.

Com a decisão, estão proibidos no Brasil a produção, a comercialização e o uso de qualquer agrotóxico à base de aldicarbe.

A Bayer S/A se comprometeu a efetuar o recolhimento de qualquer sobra do produto em posse de agricultores.

Venenos eficazes contra ratos

A Anvisa destacou que o chumbinho é ineficaz no combate doméstico de roedores já que, como o primeiro animal que ingere o veneno morre de imediato, os demais ratos observam e não consomem o alimento envenenado.

Já os raticidas legalizados agem como anticoagulantes, provocando envenenamento lento. Dessa forma, a morte do animal não fica associada ao alimento ingerido, o que faz com que todos os ratos da colônia ingiram o veneno.

Intoxicação por chumbinho

A agência destacou ainda que o chumbinho é um produto clandestino e que no rótulo não há quaisquer orientações quanto ao manuseio e à segurança, informações médicas, telefones de emergência, descrição do ingrediente ativo e antídotos que devem ser utilizados em casos de envenenamento, o que dificulta a ação de profissionais de saúde no atendimento a pessoas intoxicadas.

Os sintomas típicos de intoxicação por chumbinho são registrados em menos de uma hora após a ingestão e incluem náuseas, vômito, sudorese, salivação excessiva, visão borrada, contração da pupila, dor abdominal, diarreia, tremores e taquicardia.

Em caso de intoxicação, a orientação da Anvisa é que a pessoa ligue para o Disque-Intoxicação: 0800-722-6001. O serviço é gratuito e está disponível para todo o país.

Data: 07.11.2012

Link:
http://www.diariodasaude.com.br/news.php?article=chumbinho-banido-mercado-brasileiro&id=8326

Nova teoria explica benefícios da meditação

Alcançar o estado conhecido como mente alerta, ou atenção plena, através da meditação tem ajudado as pessoas a manterem uma mente saudável ensinando-lhes como enfrentar as emoções e os pensamentos negativos.

Isso inclui minimizar os efeitos da raiva, dos anseios e da ansiedade, e incentivar disposições mais positivas, como empatia, compaixão e perdão.

Aqueles que já colheram os benefícios da atenção plena sabem que ela funciona.

E estudos científicos, um após o outro, têm documentado os benefícios da meditação.

Mas como exatamente a meditação funciona?

Teoria sobre a meditação

Cientistas acabam de propor um novo modelo que muda a forma como o mundo ocidental tem pensado sobre a atenção.

Em vez de descrever a atenção plena como uma única dimensão da cognição, os pesquisadores demonstraram que a mente alerta na verdade envolve um amplo quadro de mecanismos complexos no cérebro.

Este novo modelo de atenção foi publicado no exemplar mais recente da revista científica Frontiers in Human Neuroscience por uma equipe do Brigham and Women's Hospital (EUA).

Teoria S-ART

Os pesquisadores identificaram várias funções cognitivas que ficam ativas no cérebro durante a prática da meditação da atenção plena.

Essas funções cognitivas ajudam o praticante a desenvolver a autoconsciência, o autocontrole e a autotranscendência, que compõem o quadro transformativo para o processo de autoconscientização, levando ao estágio de mente alerta, ou atenção plena.

Os cientistas batizaram sua teoria de S-ART, pelas iniciais em inglês das três funções cognitivas envolvidas - Self-Awareness, self-Regulation, and self-Transcendence.

Mente saudável sustentável

A S-ART explica os mecanismos neurobiológicos subjacentes pelos quais a meditação da mente alerta pode facilitar a autoconsciência; reduzir os preconceitos e os pensamentos negativos; melhorar a capacidade de regular o próprio comportamento; e aumentar as relações positivas e pró-sociais consigo mesmo e com os outros - enfim, criando uma mente saudável sustentável.

Os pesquisadores destacam seis processos neuropsicológicos que são mecanismos ativos no cérebro durante a prática da meditação e que são suporte à S-ART.

Estes processos incluem:

intenção e motivação;
regulação da atenção;
regulação emocional;
extinção e reconsolidação;
comportamento pró-social, e
não-apego e de-centragem (desligamento do ego).

Em outras palavras, esses processos começam com uma intenção e como motivação para querer atingir a plena consciência, seguidos por uma consciência dos maus hábitos da pessoa.

Uma vez que estes maus hábitos são identificados, a pessoa pode começar a domar a si mesma para se tornar menos emocionalmente reativa e para se recuperar mais rapidamente de emoções perturbadoras.

"Através da prática contínua, a pessoa pode desenvolver uma distância psicológica de todos os pensamentos negativos e pode inibir os impulsos naturais que constantemente alimentam os maus hábitos," disse David Vago, primeiro autor do estudo.

Um novo Você

O Dr. Vago afirma que a prática continuada da meditação também pode aumentar a empatia e eliminar nossos apegos às coisas de que gostamos, e as aversões às coisas de que não gostamos.

"O resultado da prática é um novo Você, com um novo conjunto de habilidades multidimensionais para reduzir os preconceitos que cercam a própria experiência interna e externa, e para manter uma mente saudável," disse Vago.

Data: 12.11.2012
Link:
http://www.diariodasaude.com.br/news.php?article=teoria-meditacao&id=8319

Auto-imaginação pode melhorar memória

Não há dúvida de que a nossa capacidade de lembrar das coisas sustenta nosso sentido deself - nosso "eu mesmo", ou nossa "essência".


Agora, uma pesquisa fornece novas evidências de que essa relação também pode funcionar no sentido inverso.

Ou seja, invocar o nosso senso de "eu" pode influenciar aquilo de que somos capazes de lembrar.

Auto-imaginação

Pesquisas têm mostrado que a auto-imaginação - imaginar algo de uma perspectiva pessoal - pode ser uma estratégia eficaz para nos ajudar a reconhecer algo que já vimos antes, ou recuperar lembranças específicas.

E estes efeitos benéficos têm sido demonstrados tanto entre adultos saudáveis quanto entre indivíduos que sofrem de deficiências de memória, como resultado de lesões cerebrais.

Isto sugere que a auto-imaginação é uma estratégia promissora para a reabilitação da memória.

Mas nenhum estudo havia investigado o efeito da auto-imaginação sobre o que é talvez o mais difícil e mais relevante tipo de memória: a recordação livre - o lembrar-se de algo sem nenhuma referência.

Mateus Grilli e Elizabeth Glisky, da Universidade do Arizona (EUA) decidiram então fazer isto, colocando a auto-imaginação à prova.

Eles queriam comparar a auto-imaginação com estratégias mais tradicionais que envolvem o sentido do self, a fim de obter uma melhor compreensão dos mecanismos subjacentes que possam estar em ação.

Traços de personalidade

Os pesquisadores recrutaram 15 pacientes com lesão cerebral que levou a problemas de memória, e 15 participantes saudáveis com memória normal para participar no estudo.

Os participantes deviam memorizar cinco listas de 24 adjetivos que descrevem traços de personalidade.

Para lembrar de cada traço de personalidade, os participantes foram instruídos a empregar uma de cinco estratégias: pensar em uma palavra que rima com o traço (esta foi a referência), pensar em uma definição para a característica (elaboração semântica), pensar sobre como o traço as descrevia (semântica auto-referencial), pensar em um momento em que o traço esteve presente em seu cotidiano (auto-referencial episódico), ou imaginar-se interpretando aquele traço (auto-imaginação).

Em todos os participantes, saudáveis ou não, a auto-imaginação melhorou a capacidade de lembrança mais do que qualquer outra estratégia.

Reabilitação da memória

Este resultado está em consonância com descobertas anteriores de que o conhecimento sobre eventos específicos do passado é frequentemente prejudicado em pacientes com lesão cerebral.

E também dá suporte à hipótese dos pesquisadores de que o benefício da auto-imaginação para pacientes com deficiência de memória pode estar relacionado à sua capacidade de recuperar o conhecimento a respeito de seus próprios traços de personalidade, identidade e períodos da vida.

Os pesquisadores acreditam que suas conclusões poderão ter aplicações importantes para a reabilitação da memória.

"Com base nos resultados de nossa pesquisa em laboratório," disse Grilli, "pode ser possível adaptar a auto-imaginação para ajudar os pacientes com problemas de memória a lembrar de informações da vida cotidiana, tais como o que eles leram em um livro ou uma notícia que ouviram."

Texto: Anna Mikulak
Data: 13.11.2012
Link:
http://www.diariodasaude.com.br/news.php?article=auto-imaginacao-melhorar-memoria&id=8335

Demanda por Óleos Essenciais Impulsiona Exploração de Ervas.

Segundo Raquel Brunelli em artigo para o site da Embrapa, o mercado de óleos essenciais para diversos fins vem crescendo e impulsiona a exploração de diversas espécies nativas brasileiras. Os óleos essenciais compreendem uma mistura de substâncias voláteis extraída de plantas. O cultivo orgânico de plantas medicinais, aromáticas, condimentares e ornamentais é uma alternativa sustentável de geração de renda.

A Embrapa Pantanal está investimento bastante nesse segmento. Espécies aromáticas, normalmente apícolas, como a erva-limão, capim-carona, malva-branca, hortelã-brava, entre outras, estão sendo pesquisadas a respeito da produção e composição de seus óleos essenciais.

Além das pesquisas na unidade da Embrapa Pantanal, ela também oferece diversas ações de transferência de tecnologia para os produtores rurais da região, por meio de oficinas, palestras e dias de campo.

Com esse objetivo que André Furtado Carvalho elaborou o “Livro Ervas e Temperos – Cultivo, Processamento e Receitas e Uso Medicinal” publicado pela AFE – Aprenda Fácil Editora. Segundo ele, a obra trata das plantas condimentares mais conhecidas e adaptadas às condições climáticas do Brasil relacionando o processamento das partes utilizadas e receitas culinárias tradicionais.

Por: Dayene Schiavon de Castro.
Data: 16.11.2012
Link:
http://www.afe.com.br/noticia/7030/demanda-por-oleos-essenciais-impulsiona-exploracao-de-ervas

Cuiabá: II Seminário de Práticas Integrativas e Complementares em Saúde

Núcleo de Práticas Integrativas e Complementares em Saúde (NUPICS) da Faculdade de Medicina (FM) da Universidade Federal de Mato Grosso (UFMT) realiza o II Seminário de Práticas Integrativas e Complementares em Saúde, entre os dias 27 e 30 de novembro de 2012, no auditório do CCBSIII, campus de Cuiabá. O objetivo é discutir experiências e novas propostas relacionadas à assistência, ensino e pesquisa das práticas integrativas no Sistema Único de Saúde (SUS). O evento tem como público-alvo estudantes da graduação e pós-graduação, profissionais de saúde, pesquisadores e estudantes, servidores e representantes da Comunidade de usuários do SUS.

As inscrições serão realizadas a partir do dia 21 de novembro. Serão realizadas palestras sobre Homeopatia e a Farmacologia moderna; Etnobotânica: As Plantas Medicinais em Mato Grosso; Medicina Tradicional Chinesa; Homeopatia no SUS; Pesquisa em Plantas Medicinais e Fitoterapia no Brasil; e A Neuro-ciência moderna e a Acupuntura Tradicional. As mesas-redondas vão abordar os seguintes temas: Aspectos culturais e históricos das práticas de saúde no Brasil; PICS e a Homeopatia, Ensino, pesquisa e atenção no Brasil; Ensino, Pesquisas e Assistência com Fitoterapia e Plantas medicinais; e As PICS e os Núcleos de Apoio à Saúde da Família (NASF). 

Também serão realizadas oficinas sobre: Homeopatia na Saúde da Criança; Contribuição do Nutricionista na APS; Medicina Ayurveda; Homeopatia - Doenças agudas e Dengue; Aromoterapia; Plantas Medicinais e Alimentos Funcionais; O Educador Físico na saúde; Plantas Medicinais na APS; Fundamentos da Naturologia; Varais de Plantas Medicinais; A psicossomática aplicada à saúde; Acupuntura auricular; Projeto Começando Cedo; Alimentação e os cinco elementos; e Yoga, Meditação e Saúde.

Para mais informações acesse o site http://www.nupics-ufmt.blogspot.com.br ou o evento no facebookhttp://www.facebook.com/events/488973607814739/?fref=ts

Jacareí: comemoração do Dia Municipal das Plantas Medicinais

O Dia Municipal das Plantas Medicinais é comemorado em 18 de novembro. Para marcar a data, a Prefeitura de Jacareí fará atividades nesta segunda-feira (19), das 10h às 15h, no Pátio dos Trilhos. O evento é gratuito e aberto ao público.

A programação terá música, estande de plantas medicinais com orientação e doação de mudas a população e caravana do lazer para as crianças. Outra atividade será a oficina de sachês aromáticos para quem quiser aprender.

Farmácia Viva - Dentro do Viveiro Municipal existem canteiros com plantas medicinais como camomila, alecrim e melissa. Essas plantas têm grande valor terapêutico e são muito utilizadas pela população, porém ainda estão sendo feitos estudos rigorosos para comprovação terapêutica e eficácia. O espaço, chamado de Farmácia Viva, foi inaugurado para receber alunos e a comunidade. O objetivo do local é orientar sobre o uso correto, além de informar os interessados de como é feito o preparo da planta medicinal e a sua indicação.
A Farmácia Viva funciona dentro do Viveiro – rua Theófilo Teodoro Rezende, 39, Campo Grande.


Por Renata Veneziani 
A comemoração do Dia Municipal das Plantas Medicinais em 2011 foi feita no ViveiroAlex Brito/PMJ

Data: 16.11.2012
Link:
http://jornaljoseensenews.com.br/portal/plantas-medicinais-e-tema-de-evento-no-patio-dos-trilhos/

terça-feira, 13 de novembro de 2012

Easy to grow garden layout

http://pakagri.blogspot.com.br/2012/11/easy-to-grow-garden-layout.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed:+blogspot/Farming+(Agriculture+and+Farming)

Uakti - Bachianas Brasileiras nº 5 - Ária

Uakti - O Trenzinho do Caipira

Akira Kurosawa's Dreams - Van Gogh

Paraguai declara stevia como patrimônio genético do país

A Stevia rebaudiana Bertoni, uma planta originária do Paraguai de onde é possível extrair um adoçante natural, foi declarada patrimônio genético do país, de acordo com o anúncio feito nesta terça-feira pelo presidente Federico Franco.

O líder fez o anúncio durante o ato de abertura do "VI Simpósio Internacional de "Ka'a He'e" (stevia, em guarani), realizado no salão de convenções do Banco Central do Paraguai, em Assunção. A denominação de patrimônio genético faz parte de um decreto presidencial que também declara de "interesse nacional a promoção, o fomento e o incentivo para o desenvolvimento da pesquisa, produção, industrialização e comercialização" da stevia, informou a agência pública IP Paraguay.

O governo emitiu o decreto que corresponde a um pedido da câmara paraguaia da Stevia (Capaste), que procura outorgar o selo de origem do produto, que também é cultivado e comercializado em países como a Argentina, Brasil e Japão.

O ministro da Agricultura, Enzo Cardozo, disse durante o ato que o país prevê investir 10 bilhões de guaranis (cerca de US$ 2,2 milhões) no fim de 2012 e parte de 2013 para potencializar a produção do "Ka'a He'e".

Em 2011, a exportação paraguaia de folhas de stevia registrou um aumento de 27,3%, com investimentos de US$ 692.212 em 2012, frente aos US$ 543.626 de 2010, enquanto o "glicosídeo do esteviol" registrou um aumento de 107,23% (US$ 573.878 sobre US$ 276.900), segundo dados do Rediex, órgão técnico do Ministério da Indústria.

No final de novembro de 2011, a Comissão Europeia (CE) autorizou a comercialização do "Ka'a He'e" em 27 países, tanto para seu uso em bebidas como em alimentos, segundo informou a Chancelaria paraguaia.

Antes dessa aprovação, a CE anunciou em 14 de novembro de 2011 a admissão do uso do "glicosídeo do esteviol" em 31 tipos de produtos alimentícios ao constatar que esta substância obtida a partir da folha de stevia não representa risco para a saúde abaixo de certo limite.

A norma da CE se soma a outras como a do Comitê Conjunto da Organização Mundial de Alimentação (FAO) e da Organização Mundial da Saúde (OMS), que através de sua Comissão de Código Alimentício, em julho de 2011, também aprovou a proposta de níveis máximos de utilização do "glicosídeo do esteviol" em bebidas e alimentos.

O "Ka'a He'e" é obtido de uma planta usada pelos nativos como adoçante e para fins medicinais, que foi descoberto cientificamente pelo botânico suíço estabelecido no Paraguai Moisés Bertoni (1857-1929). A determinação e o isolamento dos princípios ativos se deve a Ovidio Rebaudi, químico paraguaio, por isso a denominação científica da planta é Stevia rebaudiana Bertoni.

Data: 13.11.2012

Link:
http://noticias.terra.com.br/ciencia/noticias/0,,OI6297194-EI8147,00-Paraguai+declara+stevia+como+patrimonio+genetico+do+pais.html
File:Stevia rebaudiana flowers.jpg
http://en.wikipedia.org/wiki/File:Stevia_rebaudiana_flowers.jpg

Pesquisa da Anvisa revela os medicamentos mais vendidos no Brasil

Segundo Boletim do Sistema Nacional de Gerenciamento de Produtos Controlados (SNGPC) da Anvisa, que traz uma série de dados relativos ao comércio de medicamentos controlados no País, os remédios para ansiedade, geralmente usados para dormir, bateram os emagrecedores e os antidepressivos em vendas de 2007 e 2010. O mais interessante são os estados onde esses tipos de medicamentos são mais usados, quem pensou que a maioria dos consumidores desses remédios vive em locais de grande stress como são Paulo ou Brasília errou. 

O aspecto mais surpreendente da pesquisa é o lugar onde esses medicamentos contra a ansiedade e a tristeza são mais consumidos: justamente no ensolarado, bonito e alegre Rio de Janeiro , na cidade que oferece tantos atrativos, o número de psicotrópicos vendidos foi de 1 milhão e 900 mil caixas. Atrás do Rio de Janeiro, estão os estados de Santa Catarina, Rio Grande do Sul e Espírito Santo. O problema é que algumas pessoas não conseguem parar de tomá-los e podem se tornar dependentes, e o uso contínuo pode causar a Doença de Alzheimer.

Os princípios ativos clonazepam (Rivotril), bromazepan (Lexotan) e alprazolam (Frontal) ocuparam, durante todo o período analisado, as três primeiras posições de venda. Só em 2010, foram vendidas cerca de 10 milhões de caixas do medicamento Clonazepam – o primeiro da lista. O segundo mais comercializado foi o psicotrópico Bromazepan, com 4,4 milhões de unidades vendidas, seguido pelo medicamento Alprazolam, que registrou 4,3 milhões de unidades. O boletim também apresenta estimativas de gastos das famílias brasileiras com as substâncias de maior consumo. No caso do Clonazepam, por exemplo, o investimento dos brasileiros, se considerado o preço máximo ao consumidor e a menor faixa de imposto (12%) aplicável, pode ter chegado a R$ 92,4 milhões.

O Sistema Nacional de Gerenciamento de Produtos Controlados (SNGPC) tem a finalidade de subsidiar ações de vigilância sanitária nos diferentes níveis decisórios e contribuir com o uso saudável de medicamentos no País. Os dados apresentados no Boletim são obtidos por meio da escrituração eletrônica dos medicamentos sujeitos a controle especial, realizada por farmácias e drogarias de todo o Brasil.

Data: 13.11.2012
Link:
http://www.brumconsulting.com.br/2012/11/pesquisa-da-anvisa-revela-os.html

Peru: Donan equipo para analizar productos naturales andinos y amazónicos a U. Agraria

Lima, nov. 12 (ANDINA). Un equipo especializado en bioquímica y biología molecular, valorizado en 770 mil dólares, que ayudará a impulsar el análisis de productos naturales de procedencia andina y amazónica, recibió la Universidad Nacional Agraria La Molina, de parte del gobierno de Japón.

Al hacer entrega del donativo, el embajador de Japón, Masahiro Fukukawa expresó su deseo de que esta contribución promueva actividades de investigación que determinen y conserven las diversas plantas medicinales y alimentos andino amazónicos y a partir de estos formular productos fitofármacos que facilitarían a las comunidades locales acceder a medicinas económicas.

Expresó también su satisfacción por el intercambio académico que permanentemente se realiza entre Perú y Japón y recordó que el próximo año la Universidad Agraria será sede de la Tercera Conferencia de Rectores de las universidades de ambos países.

La donación comprendió un cromatógrafo de gases con espectrómetro de masas, que permite determinar la estructura molecular de los compuestos, así como un sistema de electroforesis de ADN para el desarrollo de estudios genéticos moleculares, una cabina fe flujo laminar que garantiza las condiciones de esterilidad en los análisis biológicos, entre otros.

Por su parte, el director del Instituto de Investigación de Bioquímica y Biología Molecular de la Universidad, Jorge Chávez, enfatizó que estos equipos de última generación nos ponen a la par de otros centros de investigación del mundo y serán manejados por personal capacitado para su correcto uso.

En este contexto, resaltó las ventajas que ofrece nuestro país, considerado como un país mega diverso no sólo en lo referente a la biodiversidad, sino también en ecosistemas y genes.

“Esto convierte al Perú en uno de los países más ricos en recursos naturales del planeta. Se estima que en una sola hectárea de bosque amazónico, existen más especies de árboles que en toda Norteamérica. Además, nuestro país cuenta con 84 de las 103 zonas de vida y 28 de los 32 climas existentes en el mundo”, comentó el experto.

Solo en la Amazonía, prosiguió, existirían 80 mil especies de plantas, de las cuales se conocen aproximadamente 17,144 con 5,354 especies endémicas, muchas de las cuales no han sido estudiadas y que lamentablemente seguirán siendo desconocidas para la ciencia y, probablemente, debido al acelerado e indiscriminado deterioro de los ecosistemas, terminarán desapareciendo por el indiscriminado comercio y depredación dado su enorme valor terapéutico.

“Contamos con 5,883 especies de animales entre los cuales existen 460 mamíferos 1,811 aves, 360 reptiles, 340 anfibios y 2,912 vertebrados no peces”, indicó.

Precisó que, según el doctor Norman Farswort de la facultad de Farmacognosia y Farmacología de la Universidad de Illinois Chicago USA, se calcula que en el mundo existen entre 250,000 a 750,000 especies de plantas superiores de las cuales solo el 10% de ellas han sido estudiadas.

Chávez Pérez mencionó que grandes segmentos de la población rural de los países en desarrollo todavía recurren a la medicina tradicional para satisfacer sus necesidades de atención primaria.

Es el caso de China, donde la medicina tradicional representa cerca del 40% de toda la atención de salud prestada. En Chile la ha utilizado el 71% de la población, y en Colombia el 40%. En la India el 65% de la población rural recurre al ayurveda y a las plantas medicinales.

Además, anotó, en los países desarrollados se están popularizando los medicamentos tradicionales, complementarios y alternativos. Así, el porcentaje de la población que ha utilizado dichos medicamentos al menos una vez es del 48% en Australia, el 31% en Bélgica, el 70% en el Canadá, el 42% en los Estados Unidos de América y el 49% en Francia.

Por esta razón, la Organización Panamericana de la Salud (OPS) ha respaldado activamente a los países de las Américas en sus esfuerzos por estructurar políticas nacionales sobre medicina tradicional y formular la legislación que regula la licencia, distribución, preparación y comercio de plantas y hierbas medicinales.

(FIN) NDP/ART

Data: 12.11.2012